L’Institut Don Bosco cherche urgemment 3 élèves

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L’Institut Don Bosco cherche urgemment 3 élèves

Alors que les entreprises pleurent pour des travailleurs qualifiés, les inscriptions sont en baisse à l’Institut Don Bosco de Verviers qui les forme. Une diminution due notamment à l’épidémie de covid-19. Les mesures sanitaires ont chamboulé toute l’année scolaire, y compris les examens de fin d’année. Du coup, il semblerait que moins d’élèves se soient interrogés sur leur parcours scolaire et réorientés.

La baisse d’élèves est telle que sans trois élèves supplémentaires, l’établissement perdra une soixantaine d’heures de cours "organisables".

En clair, deux à trois professeurs perdront leurs horaires et l’école devra réorganiser ses classes. Pour récupérer ces heures perdues, il faudra notamment regrouper plusieurs classes dans le même atelier. De quoi complexifier encore davantage le travail de l’enseignant et freiner l’arrivée de nouveaux élèves. "Or, avec le coronavirus, toute une série d’élèves ne sont pas venus à Don Bosco. Ils ne sont pas venus car ils n’ont pas été réorientés vers Don Bosco. Mais ils risquent d’arriver à partir d’octobre, car en octobre, il y aura à nouveau des conseil de classe qui vont à nouveau réorienter les élèves" indique Renaud Duquenne, directeur de l’Institut Don Bosco Verviers.

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Alors que les entreprises pleurent pour des travailleurs qualifiés, les inscriptions sont en baisse à l’Institut Don Bosco de Verviers qui les forme. Une diminution due notamment à l’épidémie de covid-19. Les mesures sanitaires ont chamboulé toute l’année scolaire, y compris les examens de fin d’année. Du coup, il semblerait que moins d’élèves se soient interrogés sur leur parcours scolaire et réorientés.

La baisse d’élèves est telle que sans trois élèves supplémentaires, l’établissement perdra une soixantaine d’heures de cours "organisables".

En clair, deux à trois professeurs perdront leurs horaires et l’école devra réorganiser ses classes. Pour récupérer ces heures perdues, il faudra notamment regrouper plusieurs classes dans le même atelier. De quoi complexifier encore davantage le travail de l’enseignant et freiner l’arrivée de nouveaux élèves. "Or, avec le coronavirus, toute une série d’élèves ne sont pas venus à Don Bosco. Ils ne sont pas venus car ils n’ont pas été réorientés vers Don Bosco. Mais ils risquent d’arriver à partir d’octobre, car en octobre, il y aura à nouveau des conseil de classe qui vont à nouveau réorienter les élèves" indique Renaud Duquenne, directeur de l’Institut Don Bosco Verviers.

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