Mythica à Welkenraedt sur un air païen

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Mythica à Welkenraedt sur un air païen

Voilà 6 ans, « Welkenraedt aux portes du temps » centré sur l’univers médiéval avait attiré plus de 2000 visiteurs dans le complexe du Centre culturel. Sam Magotteaux remet le couvert mais Mythica, organisé en plein air sur le site du Bosquet adopte un nouvel univers.

Alors que de tels festivals sont très courus chez nos voisins, aux Pays-Bas ou en Allemagne, chez nous, il n’en existerait pas encore. Un festival pagan tel que Mythica s’adresse à un large public. Les petits comme les plus grands sont invités à venir costumer pour participer aux animations et déambuler dans le marché artisanal, coeur de l’événement.

L’univers pagan est aussi à découvrir au fil d’un parcours initiatique semé d’énigmes à résoudre, de potions à déguster pour en trouver les ingrédients ou encore d’un passage dans un camp d’entraînement afin de s’exercer au « grandeur nature ».

En annonçant ce festival, ses organisateurs n’avaient pas caché leur désir qu’il soit le premier d’une longue série. Il faudra sans doute attendre le bilan de cette première édition pour savoir s’il en y aura une deuxième. (B. Lousberg)

 

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Voilà 6 ans, « Welkenraedt aux portes du temps » centré sur l’univers médiéval avait attiré plus de 2000 visiteurs dans le complexe du Centre culturel. Sam Magotteaux remet le couvert mais Mythica, organisé en plein air sur le site du Bosquet adopte un nouvel univers.

Alors que de tels festivals sont très courus chez nos voisins, aux Pays-Bas ou en Allemagne, chez nous, il n’en existerait pas encore. Un festival pagan tel que Mythica s’adresse à un large public. Les petits comme les plus grands sont invités à venir costumer pour participer aux animations et déambuler dans le marché artisanal, coeur de l’événement.

L’univers pagan est aussi à découvrir au fil d’un parcours initiatique semé d’énigmes à résoudre, de potions à déguster pour en trouver les ingrédients ou encore d’un passage dans un camp d’entraînement afin de s’exercer au « grandeur nature ».

En annonçant ce festival, ses organisateurs n’avaient pas caché leur désir qu’il soit le premier d’une longue série. Il faudra sans doute attendre le bilan de cette première édition pour savoir s’il en y aura une deuxième. (B. Lousberg)

 

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