Un parent d’élève sur 4 affirme que chaque année leur enfant n’a pas d’instituteur pendant plus de 15 jours. Une situation intenable qui force les écoles à accepter des remplaçants qui n’ont parfois pas la bonne qualification.
Par exemple, Amélie est institutrice remplaçante en maternelle. À cause de la pénurie de profs, elle a été appelée par l’école communale de Jalhay pour donner cours en primaire.
Malgré la pénurie, il arrive à Amélie de ne pas travailler plusieurs jours. Ces situations entrainent souvent l’abandon de certains nouveaux travailleurs qui ne trouvent pas assez d’emploi. 1 nouveau prof sur 5 baisse les bras dès sa première année de travail, ce qui n’améliore pas la situation.
Alors comment faire pour combler ce vide ? La solution serait d’améliorer l’image du professeur selon les autorités. Mais les remplaçants aimeraient quant à eux plus de stabilité.
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