23 diplômés du challenge « 1 mois pour avancer autrement »

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"1 mois pour avancer autrement", c'est le défi relevé par 23 participants, qui ont répondu à l'appel de l'ASBL Fahr Mit, pour repenser leur mode de déplacement, pour effectuer un petit pas vers un quotidien plus durable.

Ils sont 23 à avoir relevé le défi de ce challenge « 1 mois pour avancer autrement », à savoir pendant le mois de mai. Les participants ont reçu un vélo électrique pour adapter leurs déplacements, idéalement vers leur lieu de travail. Des habitudes à faire évoluer, mais la sauce a bien pris en tout cas, cette 1ère édition fut un beau succès couronné par la remise de diplômes hier soir à la Maison du parc naturel à Botrange. « Les 23 participants se sont vraiment pris au jeu, certains n’y croyaient pas au départ mais il se sont rapidement rendu compte que c’était possible et même que c’était agréable », souligne avec enthousiasme Caroline Lecomte, une des chevilles ouvrières de ce projet durable pour l’ASBL Fahr Mit, également chargée de missions pour le GAL Fagnes Hautes-Amblève, qui a reçu le soutien de la fondation Roi Baudouin. « Nous avons aussi été très suivis sur les réseaux sociaux, les élus communaux nous ont aussi bien soutenus. Ça a vraiment créé une émulation dans la région », sourit Caroline Lecomte. Les témoignages des différents participants vont dans le même sens, la plupart ayant déjà réfléchi à l’acquisition d’un vélo électrique. « J’ai une dizaine de minutes en voiture jusqu’à mon lieu de travail, et plus ou moins 25 minutes à vélo. Cela demande de s’adapter, mais le trajet permet aussi de faire le vide dans sa tête », nous confie, conquise, Pascaline André, habitante de Recht et qui travaille à Saint-Vith.

Et après ?

« C’est un départ ce que nous venons de faire ici, cela a duré un mois, ça nous a permis de créer des déclics dans la tête de certains participants et d’autres personnes. Mais après, on va mener des actions, on imagine probablement renouveler le challenge l’année prochaine et peut-être encore l’année d’après, parce que simplement tout ne se fait pas en une fois, il faut répéter, sensibiliser, ré-informer », conclut Caroline Lecomte.


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