C’est le parc de l’Harmonie, au coeur de Verviers, que la Compagnie Irène K. avait choisi cette année pour cette nouvelle édition du festival «Danse en ville ». Le soleil était au rendez-vous et les spectateurs aussi pour découvrir cinq compagnies de danse contemporaine belge, allemande et italienne. En dépit de la crise du coronavirus, les artistes recommencent à voyager.
L’intention de ce festival soutenu par le Centre culturel de Verviers ne change pas : sensibiliser encore et encore à cet univers de la danse contemporaine qui, en descendant dans la rue, ouvre encore plus d’espaces de libertés et d’échanges.
Avec la danse contemporaine, les spectateurs doivent accepter de se laisser emporter. La narration laisse place aux émotions.
Ces danseurs inspirés par toutes les formes de danse ne fixent pas de limites à leur imagination. Ainsi la dernière création de la Compagnie Irène K. Met en scène un dialogue entre un corps et une voix.
Comme celui de la culture, le monde de la danse recommence à respirer à plein poumon, enfin. (B. Lousberg)