Dison: bourrelier depuis plus de 40 ans

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Dison: bourrelier depuis plus de 40 ans

Le travail du cuir à l’ancienne et à la main n’est plus un métier courant. Néanmoins, certains continuent cet art depuis de nombreuses années. Le Disonais Joseph Colla en a d’ailleurs fait sa passion depuis plus de 40 ans en devenant l’un des rares selliers-bourrelier artisanal de la région. S’il y en a encore en Belgique ils sont encore très peu nombreux à travailler le cuir pour l’équipement d’équitation de cette façon.

Une façon dont on le travaillait déjà au moyen-âge et à l’époque romaine à l’aide de deux aiguilles et du fil de lin poissé.

Joseph Colla n’a pourtant eu besoin de personne pour apprendre sa passion de l’harnachement du cheval et de la sellerie. S’il a bien essayé de suivre une formation, il a fini par apprendre seul à l’aide de bouquins américains. 

Moins de travail mais toujours autant de passion

Comme l’économie a changé, le Disonais a aujourd’hui moins de travail qu’à l’époque et la réparation a pris le dessus sur la création, mais ses clients lui restent fidèles. Et c’est ce qu’il apprécie par-dessus tout.

Et même si, aujourd’hui, il ne forme ni sellier, ni bourrelier, Joseph Colla transmet son savoir faire du cuir à qui le souhaite pour réaliser toutes sortes de travaux d’étuis ou autres sacoches. Ce qui ne devrait pas de sitôt lui retirer ses mains d’or que beaucoup préfèrent encore à l’industriel. (M.B)

 

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Le travail du cuir à l’ancienne et à la main n’est plus un métier courant. Néanmoins, certains continuent cet art depuis de nombreuses années. Le Disonais Joseph Colla en a d’ailleurs fait sa passion depuis plus de 40 ans en devenant l’un des rares selliers-bourrelier artisanal de la région. S’il y en a encore en Belgique ils sont encore très peu nombreux à travailler le cuir pour l’équipement d’équitation de cette façon.

Une façon dont on le travaillait déjà au moyen-âge et à l’époque romaine à l’aide de deux aiguilles et du fil de lin poissé.

Joseph Colla n’a pourtant eu besoin de personne pour apprendre sa passion de l’harnachement du cheval et de la sellerie. S’il a bien essayé de suivre une formation, il a fini par apprendre seul à l’aide de bouquins américains. 

Moins de travail mais toujours autant de passion

Comme l’économie a changé, le Disonais a aujourd’hui moins de travail qu’à l’époque et la réparation a pris le dessus sur la création, mais ses clients lui restent fidèles. Et c’est ce qu’il apprécie par-dessus tout.

Et même si, aujourd’hui, il ne forme ni sellier, ni bourrelier, Joseph Colla transmet son savoir faire du cuir à qui le souhaite pour réaliser toutes sortes de travaux d’étuis ou autres sacoches. Ce qui ne devrait pas de sitôt lui retirer ses mains d’or que beaucoup préfèrent encore à l’industriel. (M.B)

 

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